le patron de la chemise Albane et moi en safari

le patron de la chemise Albane et moi en safari

S’il y a bien un vêtement fait maison qui peut nous rendre fier, c’est bien celui dont je vais vous parler aujourd’hui…

Quand j’ai commencé à coudre, j’ai rapidement été curieuse de créer ce type de vêtement. J’avais ciblé un patron pour lequel j’avais fait une toile. M’allant parfaitement, je m’attelais à la tâche pour la version définitive jusqu’à ce que ma petite maman le découvre elle aussi et me passe commande pour sa version. Ce n’était pas un patron très rapide car il y a avait pas moins de 25 pièces. Et je dois dire qu’une fois son vêtement réalisée, j’avais besoin de retrouver un peu de liberté en pensant à des cousettes suivantes beaucoup plus simple à faire. Du coup, jamais je n’avais pris le temps de me concentrer à nouveau sur ce type de projet. Mais non, ne culpabilise pas Mom (je sais que tu me lis) ! Je suis fière de t’avoir offert un vêtement qui t’a plu… (mais que je ne te vois pas beaucoup porter au final…) oh allez je te taquine 😘 Je t’aime ma mamounette chérie.

Revenons à nos moutons ! Non pas que je sois une adepte de cette pièce mais les années passant, j’ai découvert qu’il pouvait être une pièce incontournable de notre dressing. De ses multiples visages, il peut très bien vous faire passer d’une working-girl en quête d’un style classe et féminin à une personne beaucoup plus décontractée, mélant confort et simplicité. 

[Mais de quoi elle parle, elle va le dire, oui !? ] Oui oui, j’y viens !

Aujourd’hui, vous l’aurez sans doute deviné, je vais vous parler d’une chemise. Mais ce n’est pas une chemise basique, c’est THE chemise de la nouvelle collection printemps/été de Chez Machine. Perrine du blog Auguste et Septembre a participé à la création de cette chemise. Elle nous l’a rêvé, dessiné et les machinettes nous l’ont créé. Un grand Merci les filles !!!!!!

Pour ma part, j’ai choisi la version B avec poches à rabats, pattes de boutonnages aux épaules et pattes de boutonnages aux manches. Quitte à y aller, autant ne pas lésiner sur les détails. Pendant cette phase de test, je n’ai franchement pas rencontré de difficultés. Juste prendre mon mal en patience lorsqu’il s’agissait de faire les finitions, ne pas s’emballer et s’appliquer à faire des choses jolies. Aurélie et Maïder indiquaient qu’il était possible de mettre un passepoil à l’intérieur entre le col et la chemise. Ayant vu cette info trop tard et trouvant l’idée brillante, j’ai dû trouver des solutions pour en glisser un. 

Ce que j’aime dans ce patron ? C’est tout finalement ! Les poches à rabats à plis ronds sont vraiment trop belles, exactement à l’image des chemises « safari », les pattes aux épaules et aux revers des manches sont parfaites et la coupe un peu « fittée » mais pas trop est divine. Nan vraiment, je le redis, l’association Chez Machine et Perrine cartonne un max ! 

Bon, maintenant je ne sais pas si je vais pouvoir un jour la porter lors d’un vrai safari…

C’est pas mon chéri qui serait contre et si on pouvait le faire maintenant, on y serait déjà !)

[Mais elle va arrêter de nous parler de sa famille, c’est pas bientôt fini, oui ?!] C’est bon, j’arrête.

 

…mais en tout cas, je vais pouvoir la porter aussi souvent que possible sans attendre le safari et l’aimer rien qu’en la regardant.

Patron

Chemise Albane de Chez Machine

Tissu

Coton kaki de Sacrés Coupons

Taille

T.36

Modifications

Aucune

© 2017 Plumti.lab

Un petit mix de patrons, ça vous dit ?

Un petit mix de patrons, ça vous dit ?

Lorsque j’ai vu la Parisette de Blousette Rose, elle a été pour moi un véritable déclencheur car malheureusement, un état comateux commençait à s’installer autour de mes cousettes.

Alors quand j’ai vu « Ze » détail, je n’ai pas pu résister.  Oui, vous savez ce petit empiècement et ce col creusé au milieu du dos. A tomber ! Une fois le patron dans ma boîte mail, le seul truc qui m’importait de voir, c’était le dessin des pièces et leur assemblage.

Car, et je l’ai su tout de suite, je n’avais pas vraiment envie de la réaliser dans son intégralité.

Des manches courtes en mi-saison ? Moi, la frileuse de première !? C’était hors de question et impossible d’attendre quelques mois avant de la porter.

Il y a 2 ans, j’ai reçu en cadeau de noël, le livre l’atelier couture de Thia. J’avais ciblé la chemise Arabette et l’avais même décalqué. Mais le patron était, finalement, resté bien rangé, de plus en plus écrasé par les nouveaux qui sont arrivés par la suite et qui finissent, encore aujourd’hui écrasés par les dernières sorties. Tiens addiction, te revoilà !

C’était le mix idéal : 2 patrons de la même créatrice, en alliant mes besoins saisonniers d’un côté et mes envies spontanées de l’autre.

Mon petit coupon de tissu à pois, acheté, il me semble, au marché Saint-Pierre et, déjà, envisagé comme la parure d’une future chemise, était parfait. Surtout qu’au moment où je me suis décidée à coudre cette pièce, je voyais du bleu ciel partout. Cette couleur devenait de plus en plus une évidence.

J’ai, donc, essayé de trouver un compromis entre les cols différents. J’ai aussi, dû, repenser (donc redessiner) la partie haute de la chemise Arabette pour y inclure le plis creux, que j’ai d’ailleurs fait sur toute sa hauteur (contrairement à la chemisette) et l’empiècement magnifique.

Ce ne fut pas une mince affaire, mais je m’en suis sortie !

En plus, j’ai gagné en aisance grâce au pli creux dans le dos, chose à laquelle je n’avais pas pensé avant de le faire.

Le petit plus qui me fait craquer ? Les boutons ! Pour faire un rappel, j’ai utilisé le même tissu que pour l’empiècement. Sueurs froides, essais ratés, boutons cabossés… çe fut bien difficile car le coton tissé est assez épais. Je ne vous dis pas comme j’étais contente d’avoir fini cette étape là !!!

Cette chemise est devenue, depuis, une incontournable de ma garde-robe et je ne me prive pas de la mettre à toutes les occasions !

© 2017 Plumti.lab