Prends ta conscience en main !

Prends ta conscience en main !

Prends ta conscience en main !

Prends ta conscience en main !

Depuis plusieurs années, je me sens très responsable de ce que produisent mes actions sur l’environnement.
Tout ne s’est pas fait d’un jour à l’autre et il n’est pas évident de se remettre en question sur des sujets pour lesquels des solutions rapides, efficaces, jolies ou soi-disant économiques ont déjà été crées pour nous ; pauvres exploités et partisans, malheureusement, que nous sommes, face à cette fichue société capitaliste.
Cependant, j’ai toujours cette réaction instinctive d’opposition lorsque les autres ont le besoin de me dire quoi faire sans que je ne l’ai décidé et je ne déroge pas à la règle lorsqu’il s’agira de faire de moi la consommatrice que je ne suis pas réellement.
Il est dur de se persuader que des belles choses tentantes puissent ne pas coller avec cette éthique et savoir se résigner est sans doute la chose la plus gratifiante qu’il puisse y avoir quand on constate que le manque n’est pas là et qu’il procure bêtement un état d’insatisfaction.

[ minimalism ]

En tant que consommatrice, les achats responsables, limités et réfléchis me tiennent, donc, de plus en plus à cœur.
Mais en tant qu’artisante, la vente de mes créations induit en moi une problématique à laquelle j’ai peu de réponses.
Bien évidemment, chaque entrepreneur se confronte à cette situation, autant soi peu qu’il soit sensible à la surconsommation qu’il peut générer et à sa façon d’impacter ses clients sur sa production.
Si j’étais une bonne cheffe d’entreprise, je ne vous partagerai même pas mes profondes pensées qui vous détourneraient de mes patrons et freineraient mes ventes et donc mon revenu.
Mais je crois que la transparence, qui m’est un trait caractéristique dans ma vie personnelle, se doit d’exister aussi au travers de ma marque. Et je suis convaincue que l’image que l’on renvoit au client, lui permet de se rendre compte de la réflexion qui existe derrière le nom et de l’aider à bien comprendre les enjeux qui se jouent pour l’artisan.
Alors je ne sais pas si j’ai tord ou raison de vous avouer cela et de vous ouvrir les yeux sur vos achats mais il m’importe de vous sensibiliser, en tant qu’humaine, à vous questionner sur vos véritables besoins et votre façon de consommer.

Il en va de soi que chaque achat a, donc, une valeur importante. C’est pourquoi, il est nécessaire de se tourner vers des produits qui prônent le respect de la planète et le respect social.
J’ai cherché à mettre en valeur des entreprises, comme la mienne, qui ont de puissantes convictions environnementales, celles dont le cœur bat pour cette philosophie de vie.
Clémence de Cousu Bio et Rebecca de Mars-Elle ont accueilli mon projet les bras ouverts.
A travers ma démarche, je n’ai pas voulu de partenariat pour surfer sur la vague des collaborations marketing à tout va qui, justement, vont à l’encontre de tout ce que je dénonce.
Ici, l’idée était de me lier à leur boutique dans le but d’attirer votre attention sur les tissus et accessoires de mercerie biologiques et donc responsables.
Les tissus de cette catégorie-là souffrent de leur réputation de tissus coûteux. Il est une évidence qui est bien celle-ci et c’est, en réalité, bien dommage de se mettre des barrières sur ce genre d’article quand, en parallèle, l’achat de mobiles ou de vêtements de marque fait moins peur ou rentre plus dans les us et coutumes.

Oui, sur un tissu biologique, il n’y a ni logo, ni tendance qui permette d’exhiber une appartenance à un groupe.
Oui, avec un tissu biologique, il n’y a que notre voix qui permet de dire aux intéressés que le vêtement ou l’accessoire cousu est d’une très belle qualité et qu’il est respectueux de l’environnement. Et pour peu que les personnes en face n’y soient pas sensibles, la valeur du produit n’aura pas autant d’intérêt qu’espéré.

Mais avec un tissu biologique, notre bonne conscience nous remplit, surtout, d’une satisfaction intense. Le plaisir d’avoir eu une pratique éco-responsable, en sachant tout ce que cela implique derrière, dépasse le seuil standard de la gratification personnelle.
il est intéressant d’avoir une exigence particulière sur la matière première utilisée pour des projets de couture qui demandent un métrage raisonnable, ou même économique, ce qui est le cas pour le patron Heze.

C’est pourquoi, pour faciliter cette mise en œuvre, en achetant ce patron, Cousu Bio, Mars-Elle et moi-même vous permettrons de bénéficier de réductions pour réaliser votre version.

🖤 -15% pour l’achat d’une popeline de la collection Jardin Secret ou Flower Power Chez Cousu Bio (valable jusqu’au 31/12/2020)

🖤 -15% pour l’achat d’un voile de coton chez Mars-Elle pour toute commande du patron Heze passée entre le 02 juillet et le 31 juillet 2020 (valable 6 mois à compter de la date d’achat du patron)

 

Le code promo sera envoyé à chaque client au moment de la réception du patron et du livret.

Dernier commandement : Tu ne mettras rien à la poubelle !

Ce que j’aime de ce patron, c’est qu’il a toute les caractéristiques du patron zéro-déchet.
J’ai calculé, dans un premier temps, le métrage exact qu’il faudra pour sa confection. Je n’ai, pour ce fait, laissé aucune marge d’erreur, ce qui oblige à une vigilance particulière lors de la découpe. Avec mes indications dans le livret, pas d’inquiétude à avoir, le couturier ou la couturière pourra presque le faire les yeux fermés.
De plus, et pour aller jusqu’au bout de mon engagement, je me suis souciée des chutes de tissu qu’il en ressortira et qu’il ou elle aura sur les bras.

Toutes les pièces du patron sont des rectangles, ce qui inclut qu’aucune chute de tissu ne pourra être gâchée et mise à la poubelle involontairement.
Dans la plus grande des tailles, c’est-à-dire celle où l’on utilise la plus grande surface de tissu et qui implique, donc, le moins de tissu restant comparé aux autres tailles, il sera possible, encore, de réaliser un tote-bag, une pochette et un chouchou.
D’ailleurs, vous pourrez trouver toute l’inspiration chez Cousu Bio qui a de jolis tutos à vous proposer.

Pour coller à son histoire, racontée sur Instagram et dans l’article d’hier, ce patron a besoin de mains responsables et précautionneuses sublimé par des matières naturelles et non nocives. Pensez à lui être fidèle et à lui donner toute la valeur dont il a besoin.
Et si ce n’est pour lui, gardez en tête que toute action de votre part aussi minime et invisible que vous puissiez penser est le grain de sable qui fera basculer les mauvaises habitudes.

 

Ne soyez plus spectateur.

Rendez-vous fier de vous.

Soyez fier de vos responsabilités et de vos actions.

Soyez vos responsabilités.

 

Le syndrome de l’imposteur ou comment bien s’entendre avec soi-même !

Le syndrome de l’imposteur ou comment bien s’entendre avec soi-même !

Le syndrome de l’imposteur ou comment bien s’entendre avec soi-même !

photo article heze

S’il y a bien un secteur qui doit fonctionner aujourd’hui, c’est certainement celui du caoching. Acteurs d’une démarche de bien-vivre et de bien-être, les coachs ont de quoi travailler pour nous aider à faire le point et, pourquoi pas, à nous amener à une réflexion de fin de vie de satisfaction et d’apaisement.

S’il était possible de pouvoir observer les forces que l’on aura déployé chaque jour à faire de lui, un joli, un tout beau, à notre image et au plus fidèle de nous-même, ce serait magnifique !

« J’assume de plus en plus qui je suis, ce que je dis, ce que je fais. Je suis moi en tout état de cause. Je veux que mes peurs ne soient plus des barrières, je veux que mes doutes se transforment en tremplin, je veux me donner toutes les raisons de croire en moi et en mes capacités. »

Voilà ce qu’on devrait réussir à se dire au moins une fois. Avoir confiance en soi, être fier de soi et assumer toute sa personne sans aucune commune mesure et à juste titre.

D’où tu sors, toi !?

Lorsque je me suis mise à coudre ce top issu du patron qui fait sa sortie demain, je n’avais franchement aucune idée d’où l’énergie sortait, ce qui me motivait et ce que j’allai faire.

Une chute de tissu m’était tombée dans les bras et il était impossible pour moi de la jeter.
J’ai agi sans me poser de questions.
J’avais un peu plus d’un mètre de tissu et je me suis mise à le manipuler et à le façonner de sorte à ce qu’on ait pu avoir l’impression que je fabriquais machinalement quelque chose que je connaissais sur le bout des doigts depuis des années.
Je crois bien n’avoir, d’ailleurs, aucun souvenir de ce qu’il y a eu dans ma tête à ce moment-là, telle une machine programmée à atteindre un but imperfectible car déjà parfait et sans la moindre hésitation.

Une fois, libérée de ma carapace de métal et de mes œillères, je me suis parée, aussi fortuitement que rapidement, de ce nouvel habit, venu remplir une ligne de plus à la liste de mes créations textiles.
A bien l’y regarder, j’étais fière c’est sûr, mais un truc me chiffonnait. J’avais produit quelque chose qui finalement n’avait rien d’exceptionnel et était des plus communs vestimentairement parlant.
Ainsi naissait chez moi le syndrome de l’imposteur et réduisait ma satisfaction principale à un simple état de fait que je n’avais certainement dû piocher, au fond de ma mémoire, qu’une silhouette si souvent admirée sur d’autres modèles dans la rue ou dans les magazines.

Bien heureusement pour moi, des voix porteuses et bienveillantes m’ont confirmé le caractère exclusif du modèle à travers sa confection et j’ai pu regagner doucement en positivité et remis progressivement la machine en route pour faire de lui un tout nouvel article dans ma boutique.

Et bien oui, quoi ! Ne dit-on pas que les modes se répètent ?

Oui, ce top a une base commune.

Oui, il a une silhouette connue et reconnue mais il a ce charme de proposer de multiples détails de bretelles, de volants ou de fronçages.
Il est accessible par un plus grande nombre de couturières grâce à la gamme de tailles que j’ai étendu du 32 au 50.

Ce nouveau patron, je l’assume parce que je sais toute l’énergie et la motivation que j’ai puisé à le concevoir. Je me suis fait plaisir.

Et vous savez quoi ?
Je ne sais pas si c’est l’âge, la maturité, l’introspection que ces dernières années m’ont imposé mais j’ai cette puissante sensation que ma force est en pleine ascension et ce patron est une étape de plus à la réussite de cette constatation.

Si vous avez un peu de patience et de curiosité, je vous retrouve demain pour la naissance de ce modèle dans la boutique et avec un nouvel article sur le blog.

Je vous embrasse et vous laisse avec une petite citation de David Hume du Traité de la Nature Humaine.

“Un bien banal peut produire un désir supérieur à ce qui provient de la jouissance la plus grande et la plus estimable.”

Emergence et réajustement

Emergence et réajustement

Emergence et réajustement

photo-article-1an

Je sors de ma grotte.
Après de nombreux mois d’absence, j’ouvre les yeux à la naissance de la saison chaude. Laissons l’espace de quelques lignes pour remonter le temps.
J’ai laissé derrière moi un modèle que je n’ai pas utilisé et dévoilé.

A l’époque, je m’étais aperçue qu’il allait être difficile à être porté en hiver et j’ai préféré attendre les beaux jours pour me sentir en harmonie avec cette proposition.
Alors vous me direz que j’aurais pu avancer sur d’autres projets mais la fin d’année a été très compliquée pour moi.
J’ai voulu prendre du recul à tout ça. Je n’avais plus la force, la force intérieure qui me poussait, jusqu’alors, à continuer ma petite vie d’entrepreneuse.
Je ne suis pas de celles qui s’exposent facilement ou qui dévoilent leur vie privée sur les réseaux sociaux avec une transparence libératrice.

Il y a eu beaucoup de turbulences qui ont fait que je n’ai pas pu continuer ma douce lancée.
Aujourd’hui, c’est encore difficile et je ne pense pas retrouver toute l’aisance que j’avais pour faire grandir Plumti.lab comme je le rêvais à son origine.
Je ne le dis pas avec regret car j’ai, depuis cette constatation, pu l’intégrer dans mon esprit et naviguer avec.

Je ne suis pas en train de vous annoncer la fin de la marque car je tiens à continuer à la faire exister. Je sais que vous êtes nombreuses à apprécier son esprit et je ne peux pas vous cacher que tout ce qu’elle demande pour vivre me fait vibrer.
Elle aura, seulement, l’image d’une bébé marque qui se veut insouciante et légère, prête à proposer des patrons comme des petits cadeaux surprises auxquels on ne s’attend pas.

Son activité pour la création de nouveaux modèles sera, donc, réduite par rapport à avant. En revanche, je serai, toujours, présente pour répondre à vos interrogations, pour vous aider, vous soutenir ou vous conseiller dans vos projets et bien entendu, pour expédier les commandes des pochettes des anciens modèles.

Désormais, les patrons Plumti.lab ne seront proposés que sous format pdf pour des raisons de logistique.
Après un déménagement, j’ai dû revoir à la baisse mon espace de stockage et il va m’être difficile de continuer sur les versions papier au risque, sinon, de ne plus avoir du tout de place pour créer. Je pense que vos attentes sont nettement plus portées sur la sortie de nouveaux modèles à coudre que sur l’emballage. Et une petite souris me dit aussi, qu’après votre commande, vous êtes souvent impatientes de recevoir le petit cadeau que vous vous êtes offert, que le pdf arrive rapidement entre vos mains et que vous êtes suffisamment autonomes et débrouillardes pour vous occupez fièrement de l’assemblage des feuilles du patron.

Cependant, vous aurez toujours la chance, pour les plus classiques et collectionneuses d’entre vous, de commander les pochettes pour les patrons de la salopette Terebell, de la robe Ankaa et du body Maïa.

 

Le petit dernier

Je vous parlais d’un modèle encore secret et je profite des 1 an de Plumti.lab pour vous le dévoiler.
Il s’agit d’une blouse ou d’une robe qui se porte facilement en périodes douce et chaude.

Ample et travaillée, elle permet une liberté de mouvement et l’on imagine, facilement, la brise s’infiltrer dans ses manches ou sous sa basque.

Des plis religieuses lui apportent une petite touche sophistiquée et féminine et ne sont pas bien compliqués avec le tuto que je vous ai conçu.

Patron de couture blouse bleue nekkar

J’ai créé 4 versions qui la mettent en scène de différentes façons.

A porter avec un jean ou un pantalon slim plus habillé pour les versions chics, en version robe pour les journées chaudes, confectionnée dans des tissus aériens et même pour les fraîches soirées de l’été indien, tout est possible.

Les différentes matières que vous choisirez laisseront naître des versions toutes aussi différentes les unes des autres. Notez qu’un tissu à motif effacera visuellement plus facilement les plis et qu’un tissu un peu plus lourd ou rigide accentuera l’ampleur des manches.

Sur mes 4 versions, j’ai voulu justement vous montrer les rendus possibles pour que vous ayez bien en tête ce vers quoi votre projet peut aboutir.

 

Dans les coulisses

Avec ce patron, j’ai, tout d’abord, créé un prototype de la robe. La robe bordeaux.

Comme je vous l’ai expliqué, j’ai travaillé sur ce modèle dès l’automne dernier. La couleur m’a semblé toute trouvée.

Initialement, j’avais créé 6 plis sur le devant et le dos.

Réalisée, ici, dans un drap de laine, comme pour justifier d’un port de robe au beau milieu de l’hiver, le tissu n’est pas des plus fluides.
Souvenez-vous, je l’avais utilisé pour un manteau alors que je ne tenais pas encore de blog il y a 3 ans.

 

Du fait de sa lourdeur, j’ai revu à la baisse le nombre de plis sur la partie haute du vêtement.
En effet, ici, il n’y a pas de couture d’épaules qui délimitent les manches du devant ou du dos.

C’est une pièce intégrale qui, par le nombre de plis, augmente l’ampleur des manches.

Malgré tout l’amour que j’ai pour cette pièce un chouïa particulière, je me suis dit qu’il valait mieux que je ne sois pas trop gourmande en terme d’originalité et de tissu pour plaire aux plus nombreuses.

 

Les autres versions

À cette période, Diep de DIYdistrict m’a proposé un tissu incroyable. J’ai tout de suite craqué car il était parfait pour l’utiliser sur la blouse. 
Tissu japonais DIY DistrictT
Petit souci cependant, je me suis rendue compte que la laize de 108 cm allait me poser problème. Mais pleine de ressources, j’ai fait avec, ou plutôt sans, le métrage nécessaire (entre 124 cm de large pour une taille 34 et 140 cm pour une taille 46) pour réaliser le haut et me suis dit que j’allai vous proposer une version différente.

En totale adéquation avec le tissu traditionnel japonais, ma version bleue se rapproche de l’allure des kimonos avec leurs larges manches.

Je trouve que cette version a un visage complètement différent et vous pourrez l’adapter facilement en enlevant quelques centimètres sur la longueur des manches et en n’utilisant pas les bracelets de manche qui créent cet effet bouffant.

Les 2 autres versions sont, quant à elles, fidèles au patron final.

J’avais en stock un tissu petit pan sur lequel je lorgnais depuis des années sans avoir su quoi en faire et malgré les motifs j’ai voulu tenter l’association et voir ce que les plis allaient devenir une fois réalisés.
Tissu rouge pivoines Petit Pan

Je n’ai pas été déçue et je suis ravie que le soleil soit de retour pour pouvoir la porter car elle est parfaite pour le printemps.

Ma version noire est une version chouchou. J’avais choisi un tissu tout approprié pour la période où j’aurais voulu sortir le patron. Je l’avais imaginé glissé au pied du sapin mais les aléas de la vie ont fait que je n’ai pas pu vous permettre de jouer la mère Noël.

Delphine, de Les filles à pois, qui au passage, je ne sais pas si vous l’avez vu, a une toute nouvelle et belle identité, m’a aiguillé dans mon choix et je me suis, finalement, décidée sur une version lin noire à paillettes.
Tissu lin noir Les filles à poist
J’avais très peur de la sensibilité du tissu en ce qui concerne le froissage mais j’ai été vraiment surprise. Cette matière m’a fait revoir totalement mon jugement et mon appréciation à son sujet. Je l’assimilais à des tenues estivales complètement mémérisantes – excusez moi du terme – et je suis ravie de savoir que je peux désormais compter sur elle pour agrandir mon choix de tissus.

Cette constatation n’est, malgré tout, pas possible si l’on ne tient pas compte de son entière composition. A 45% constitué de viscose, je me suis permise de fermer les yeux (j’évite au maximum cette matière et n’en utilise plus depuis 1 an et demi), l’espace d’un projet, tellement ce tissu était doux et agréable à porter. Et chez Les filles à pois, je crois qu’il n’y a pas de question à se poser, la qualité est toujours au rendez-vous !

 

Merci du tuyau

Comme je vous le disais, je ne pouvais pas passer à côté du premier anniversaire de la marque. C’est pourquoi, pour célébrer cet évènement, je voudrai vous faire un cadeau.

Vous pourrez vous faire plaisir tout au long de cette semaine jusqu’au 25 avril 2019 sur la boutique car je vous offre :

♥︎ 15% sur TOUS les patrons pdf ou pochette en inscrivant le code promo

1ANDEJA

 

J’espère que vous accueillerez ce nouveau modèle avec bienveillance. Mon esprit est toujours tourné dans le but de vous proposer des vêtements originaux avec une touche de je ne sais quoi qui me ressemble.

Tellement consciente du marché que vous avez en face de vous, ces pièces ne sont que le reflet d’un travail fait avec amour et attention. Et malgré les petits rebondissements que peut subir la marque, j’espère vous trouver toujours aussi fidèles, ou si ce n’est pas à mes idées créatives, au moins à mes mots et à la sensibilité que j’essaie de vous transmettre au travers mes articles.