Partenariat Plumti.lab x Les filles à pois

Partenariat Plumti.lab x Les filles à pois

Partenariat Plumti.lab x Les filles à pois

Désormais, Plumti.lab s’associe à la mercerie en ligne Les filles à pois pour vous faire plaisir et vous permettre de réaliser vos cousettes à moindre coût.

Dans cette boutique en ligne tout respire la bonne humeur. C’est, sans doute, l’esprit de Delphine et Christophe, les gérants, qui plane au dessus et qui fait d’elle un endroit coloré, ludique et accueillant.

Il y a un grand choix dans les tissus maille, et de belles références en terme de designers textiles.
Ils ont aussi un grand nombre de tissus qui respectent des normes de fabrication qui me tiennent à cœur telles que OEKO-TEX ou le label CERES-050 BIO qui certifie que le tissu a une chaîne de production très suivie, de la culture à la production, de la transformation jusqu’à l’emballage en passant par les conditions humaines de vie et de travail de chaque intervenant sur cette chaîne mais aussi sur l’évalutation de la pollution des sols qu’engendre toutes les étapes de la création du produit.

Vous l’aurez compris. Ce partenariat me tient à cœur car j’y vois un bel échange autant vis à vis de vous, que vis à vis de Delphine et Christophe.

 

Voilà pourquoi je suis heureuse de vous offrir la possibilité :

 

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MERCICHLOE

Le body chéri

Le body chéri

Le body chéri

Je t’aime, moi non plus.

Voilà au moins 2 ans que mon cœur s’est arrêté sur les bodies.

J’ai, d’abord, commencé par en acheter dans le commerce. Mais en les portant, je trouvais toujours quelque chose à redire : col trop serré, trop décolleté dans le dos, pas confortable…

Alors, je me suis dit que j’allai les dessiner moi-même.

Je ne les voyais pas spécialement comme une pièce de lingerie. Juste comme des modèles que je pouvais porter simplement avec mes jeans ou qui se glisseraient facilement sous mes tee-shirts en hiver.

J’ai commencé par faire un basic, hyper moulant, limite 2ème peau. Trop fière de moi en ce qui concerne la mesure de l’entrejambe, il était vraiment fait sur-mesure. Par contre, j’avais quelque modification à faire au niveau de l’encolure. Sinon il était parfait.

Et puis sont venus d’autres projets. Ils se sont greffés à mon emploi du temps un peu archi blindé et j’ai du mettre de côté le body en ne le perdant pas de mon esprit.

Je me suis, d’ailleurs, basée dessus pour me créer un maillot de bain l’été suivant.

Time to work!

Au début de l’aventure de la boutique, je me suis fait une petite liste de patrons que je voulais voir naître. Et j’ai, tout de suite, repensé au body.

Lorsqu’il a été temps de m’y consacrer, j’ai fait maints essais. Aucun ne m’allait. J’envisageais tant de choses que je désespérais de ne pas trouver le détail qui faisait mouche.

Il a été question de torsade de tissus au dos, de manches chauve-souris, de cache cœur inversé, d’encolure danseuse, de jeux de pièces entre elles qui faisaient de lui une pièce à part entière, prêt à se soumettre aux envies de la femme, chaque matin où elle aurait voulu le porter.

Et puis un jour, dans un magasin, j’ai surpris une discussion où il était question de confort lorsque l’on porte un body et je me suis dit que la clé était là.

J’ai, alors, continué à chercher et imaginé des méthodes pour que les pressions entre les jambes ne soient plus les malvenues.

Voilà pourquoi je voulais une solution plus confortable et trouvé un endroit sur la pièce qui permette de s’ouvrir facilement.

Fermeture éclair, bouton, ruban… Aucun système n’était vraiment pratique, ni rapide. Et il fallait trouver un moyen pour éviter de mettre 15 minutes à se rhabiller.

Les agrafes m’ont paru être finalement les meilleures alliées car elles étaient déjà assimilées à la lingerie et étaient les plus faciles du monde à utiliser.

J’ai, toujours, voulu laisser le choix à la future couturière de s’approprier le modèle en lui proposant une pièce qui lui appartienne et lui ressemble complètement. Voilà pourquoi il était évident de proposer 3 bas différents.

Pour ce qui était du haut, gardant toujours mon idée de body « apparent », et non pas comme un sous-vêtement, j’ai créé un simple tee-shirt. Ne voulant pas totalement amener l’image de mon body au même niveau qu’un tee-shirt basique, je lui ai créé différentes manches qui restent dans la lignée de mon idée, celle de laisser le choix à la couturière.

En faisant mes prototypes, je me suis amusée à insérer des éléments tels que les passepoils ou rubans de dentelles comme nous pourrions, nous couturières, le faire pour un vêtement ordinaire.

J’ai, aussi, utilisé de la dentelle à la place du tissu pour voir si cette option était compatible et j’ai été plus que ravie de constater que c’était le cas.

Les tissus utilisés

Pour les versions finales, celles que vous verrez dans la boutique, j’ai utilisé des superbes jerseys qui m’ont confirmé que le patron était tout à fait viable voire définitivement abouti.

Ces magnifiques tissus viennent de la boutique Les filles à pois. Lorsque Delphine m’a contacté, elle a été d’une gentillesse incroyable, son aide et ses conseils m’ont été très précieux pour choisir les tissus qui deviendraient miens. Les trois qui viennent de sa boutique ont tous une qualité impeccable, et ce n’est pas parce que nous sommes désormais affiliées, que je vous dis tout ça. Ils ont une épaisseur et une tenue parfaite, à croire qu’ils étaient vraiment faits pour s’accorder au patron. (Je vous mets les références en fin d’article.)

En plus, la bonne nouvelle c’est que Les filles à pois proposent plein de jerseys et de tissus extensibles. Je vous assure que le choix est difficile.

 

Désormais, entre les prototypes et les versions finales, j’ai dans mes placards une dizaine de bodies de toutes formes. Les coudre était tellement rapide que je ne pouvais pas m’en empêcher.
Le plus difficile pour moi, maintenant, est de devoir faire mon choix le matin. Si ce n’était pas complètement stupide, je serai presque capable de les porter tous en même temps, les uns au dessus des autres, tellement je les aime. Mais finalement, j’anéantirai complètement tout les efforts que j’ai déployé en ayant voulu faire de ce modèle un vêtement pratique et rapide à enlever !

 Retrouvez le body Maïa dans toutes ses versions juste ICI.

Tissu jersey punto milano coton noir paillettes de chez Les filles à pois
Tissu jersey coton motif pastèque bio rouge et noir de chez Les filles à pois
Tissu jacquard motif pied de poule noir et blanc de chez Les filles à pois

Pourquoi commencer par une salopette ?

Pourquoi commencer par une salopette ?

Pourquoi commencer par une salopette ?

En couture, ce qui est bien, et ça tout le monde est unanime sur ce point, c’est de pouvoir créer de ses mains des produits à notre image, qui nous vont et qui nous ressemblent.

La couture nous détend et nous amène à une sorte de sérénité. On a un but, on gravit les étapes unes à unes et on se voit les franchir avec gratitude lorsque l’on parvient à faire des choses plutôt satisfaisantes.

Cette couture nous anime de l’intérieur et nous recentre sur nous même.
Parfois, elle peut servir de passe-temps ou d’exutoire. Je ne parlerai pas de défouloir car en général dans ces moments là on fait n’importe quoi et il vaut mieux s’y remettre plus tard quand la patience et le calme sont revenus. Je sais de quoi je parle 😂
Mais d’autres fois, cette couture peut nous permettre de nous lancer des défis, au plus profond de nous même sur un sujet aussi léger que peut etre une activité manuelle.
Un jour, on peut avoir envie de réaliser un modèle mais l’hésitation et la crainte de ne pas y arriver et de le voir plus compliqué qu’il n’y paraît, prennent le dessus. Alors on le met de côté et on oublie.
Ou alors, dans une période de grande motivation et d’enthousiasme, on se sent fort et patient et on ose ! On se lance ! On s’étonne alors de notre ténacité et de nos capacités à réaliser un patron qui nous paraissait jusque là insurmontable. Grande fierté s’ensuit alors et l’interrogation suivante se pose : pourquoi ne pas s’être lancé avant ?

Mais pourquoi une salopette ?

Certains, certaines (en grande majorité) s’étonneront d’un lancement d’un premier modèle, aussi complexe que peut paraître une salopette. Quand on estime qu’une blouse comporte en général 5, 6 voir 7 pièces au maximum, et qu’elle semble être un produit de lancement assez courant chez les créateurs de patrons, on peut voir en une salopette, une erreur de jugement quand à l’étude des futurs utilisateurs(/trices).

Mais non. Ici, ce choix n’a pas été anodin.

Si j’ai pensé à une salopette, c’est que, premièrement, je voulais que cette première pièce me ressemble.
Je souhaitais qu’elle devienne la pièce symbolique de la marque. Les salopettes sont une grande histoire d’amour, ici, à l’image des combinaisons qui allient rapidité et confort. Pas de prise de tête en l’enfilant, on gagne en efficacité et on affirme déjà notre personnalité.

Cette salopette a aussi une histoire et c’était lui rendre hommage que de la développer en premier ; une histoire familiale, au même titre que le souvenir d’un parfum de son enfance.

Et ses atouts, on en parle ?

Alors oui, une salopette avec des détails comme celle de Terebell peut paraître complexe. Oui, elle peut faire peur pour les non initié(e)s.

Mais si je vous dis qu’avec de la patience, elle est tout à fait abordable…
Si je vous dis que vous avez la possibilité d’avoir, avant même que ce produit ne soit diffusé, des avis et des conseils sur la confection de ce vêtement, qui vous démontreront que ce n’est pas si difficile…
Si je vous dis que le niveau donné à ce patron n’est lié qu’au simple fait d’avoir un grand nombre de pièces, 16 au total et que cela implique juste de passer plus de temps dessus mais que ça n’implique pas de réelles difficultés…
Si je vous dis que vous n’avez qu’à suivre simplement les explications et que pour les montages un peu plus « techniques », vous pouvez vous appuyer sur la boîte à outil du site où vous trouverez des tutos et des vidéos…
Si je vous dis que ce modèle a su contourner les à priori et nous a toutes, les testeuses et moi-même, surpris par ses facultés d’adaptation sur les différents profils de femmes qui l’ont essayé…
Et si, enfin, je vous dis que l’on se fait toujours tout un monde des choses qui nous sont inconnues et qu’une fois passées, elles nous paraissent finalement beaucoup plus simples que ce que l’on ne pensait… ça vous aide ?

Féminité…

Après je veux bien comprendre que ce soit un modèle particulier. Quand on pense salopette, on ne l’associe pas tout de suite au monde féminin. Pièce basique du vestiaire enfantin ou uniforme masculin, ce vêtement a souvent été délaissé par les femmes.
Et c’est justement pour contrer ces habitudes que je l’ai dessinée telle qu’elle est : avec sa taille très haute, ses jambes droites, ses bretelles amovibles qui fait d’elle un vêtement caméléon qui s’adapte à nos humeurs.
J’ai voulu faire de cette pièce, un vêtement qui pourra être interprété différemment selon la femme qui décidera de la coudre et de la porter.

Le corps de la femme est complexe et on pourrait passer des heures à parler de lui. Il se caractérise par ses courbes, sa rondeur et ses charmes.
Que l’on soit petite, ronde ou tous les défauts que l’on peut trouver, je suis convaincue qu’il y a toujours une partie de nous que l’on peut mettre en valeur.
La première qu’il faudrait savoir développer c’est de réussir à s’assumer telle que l’on est.
Et ça, on n’y pense pas suffisamment.
Une attitude fera changer totalement l’image d’une personne.
Plus cette personne paraîtra heureuse, libérée et pleine de vie, plus on la verra belle et cela, qu’importe l’apparence qu’elle peut avoir.

S’aimer soi est sans équivoque la plus belle parure que l’on peut s’offrir.

Alors pourquoi ne pas oser nous dévoiler, en portant un vêtement ajusté, un vêtement qui nous plaît mais qui nous empêche de nous lâcher car on a peur des regards ? Tout est dans l’attitude, plus nous sommes naturelles, plus on « regardera » notre personnalité et au final on aimera forcément notre enveloppe corporelle qui criera haut et fort « Je suis moi, j’assume et j’aime ça. Personne ne réussira à ne me faire changer d’avis ! « .

Alors si vous êtes prête à vous assumer, prête à vous lancer des défis, prête à vous faire plaisir, alors vous êtes prête pour Terrebell.

Terre est belle ?

Dans ce nom, on pourrait croire à un jeu de mot mais il n’en est pas un.
Terebell est le nom d’une étoile.
Tous les patrons suivants en porteront un également. C’est l’unité que j’ai voulu choisir pour les distinguer car je savais que rien ne me limiterait pour les nommer.

Et puis, j’aime à penser que les vêtements que vous déciderez de réaliser puisse faire de vous des étoiles